Free Porn
xbporn

buy twitter account buy twitter account liverpool escorts southampton escorts southampton elite escorts southampton escorts sites southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton ts escorts southampton escorts southampton escort guide shemale escort southampton escort southampton southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts ts escorts ts escorts liverpool escorts liverpool escorts liverpool escorts liverpool ts escorts liverpool escort models liverpool escort models liverpool ts escort liverpool ts escort liverpool shemale escorts liverpool escorts liverpool escorts liverpool escorts liverpool escorts london escorts london escorts london escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts southampton escorts liverpool escorts liverpool escorts london escorts liverpool escorts london escorts
17.5 C
New York
dimanche, septembre 8, 2024

Buy now

- Advertisement -

Déclaration du barreau de Guinée sur l’interpellation de Foniké Mangè : Les deux poids deux mesures d’une institution judiciaire politisée 

De qui se moque-t-on vraiment ? Il n’y a plus l’ombre d’un seul doute d’affirmer et de croire que le barreau de Guinée est devenu un barreau politique, une institution politisée à la solde de certains chefs de partis. Quel sacrilège !

« À Dieu ce qui appartient à Dieu. À César ce qui appartient à César »,

En effet, parlons du droit, de la justice, du respect des procédures et des institutions sans passion, sans obsession, ni militantisme, encore moins de parti pris.

Si la déclaration du barreau de Guinée sur l’interpellation de Foniké Mangè et de Billo Bah signifie que les textes et les institutions nous gouvernent, que dit-il du FNDC dissout par les autorités dont les acteurs usent et abusent en appelant à la désobéissance civile, aux manifestations de rue, à la révolte populaire…? Quelle interprétation juridique objective le barreau de Guinée donne-t-il à cette attitude irrévérencieuse, arrogante, insoumise, rebelle… de Foniké Mangè et de son FNDC qui s’opposent à l’autorité de la République, violant par ces comportements inacceptables et impardonnables le code pénal et le code de procédure pénale ?

« Personne n’est au dessus de la loi », dit-on.

En guise d’illustration, en France, grand pays de la démocratie, inspiration intellectuelle et politique des leaders politiques africains, de Charles De Gaule en passant par François Mitterand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande jusqu’à Emmanuel Macron, de 1958 jusqu’à nos jours, tous les Chefs d’État français pour des raisons diverses: manifestations non autorisées, manifestations violentes, appel à la désobéissance civile, racisme, terrorisme… ont dissout des organisations de la société civile, des associations citoyennes…

Quand la paix civile est menacée, le vivre ensemble, l’unité nationale, l’autorité de l’État… en danger, le pouvoir doit sévir. C’est un principe universel qui relève du rôle de la puissance publique, de la fonction régalienne de l’État.

De Gaule en a dissout une vingtaine, Emmanuel Macron une trentaine, François Mitterand une dizaine.

« Dura lex Ced lex », dit-on en droit.

À vrai dire, la déclaration du barreau de Guinée est inopportune, partisane, irresponsable et trouve ses raisons ailleurs. Ceci dit, elle est révélatrice de la collision manifeste d’intérêt entre Mamadou Souaré Diop, bâtonnier de l’ordre des avocats de Guinée qui est un fervent militant de l’UFDG et Foniké Mangè, leader du FNDC dissout, l’autre employé de Cellou Dalein Diallo en exprimant sa solidarité par l’utilisation, du moins la manipulation de son institution devenue l’officine d’une certaine classe politique.

Où allons-nous ? De quoi se mêle le barreau de Guinée ?

« A quelque chose le malheur est bon », dit un adage guinéen.

La crise morale de la société ce n’est pas la crise des institutions. C’est plutôt la crise de l’éducation et de la justice.

C’est pourquoi, pour préserver l’honneur, la fierté, la noblesse… de cette profession, il est venu le temps que des avocats sérieux, neutres, impartiaux, soucieux de redorer le blason de la magistrature créent d’autres barreaux pour sauver de ce qui reste de la dignité bafouée de ce noble métier.

À propos, à l’instar de l’administration publique ou privée, de la société civile qui ont chacune plusieurs syndicats ou associations professionnelles qui régulent le fonctionnement de l’institution et la représentent auprès de l’État, l’avocature est une profession libérale et démocratique qui peut avoir deux, trois, quatre barreaux, sans oublier la création des barreaux régionaux avec l’adhésion libre des membres. Ainsi, en plus de deux barreaux à Conakry voire plus, il y a lieu de créer des barreaux de Kindia, de Kankan, de Faranah, de Labé, de N’zerekoré…, une démarche efficace qui faciliterait la bonne marche de la justice, aiderait les cours et tribunaux souvent peinés dans leur fonctionnement ou programmation par l’absence d’avocats ou de barreaux locaux à l’intérieur du pays car, tous étant reclus à Conakry. Ce qui oblige le justiciable ou le client à débourser assez de moyens financiers pour s’offrir les services d’un avocat de Conakry pour l’arrière-pays.

En France, il y a 164 barreaux à travers le pays. On parle des barreaux de Paris, de Bordeaux, de Toulouse, de Lyon, de Marseille, de Nantes, de Strasbourg, du Val-de-Marne, de Créteil, de Limoges…

De ce qui précède, pour mettre un terme au comportement déviant et sélectif du barreau de Guinée, permettre la bonne marche de la justice et atteindre la satisfaction des justiciables, la réorganisation du syndicat des avocats devrait être l’une des priorités du Ministre Yaya Kaïraba Kaba. Il faut siffler la fin de la récréation. Ça s’appelle la refondation.

Alseny Sylla « Albert EINSTEIN »

Related Articles

Rester connecté

0FansJ'aime
0SuiveursSuivre
0AbonnésS'abonner
- Advertisement -

A LA UNE