Quelques heures seulement après son assermentation, le président américain retire son pays de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), coupable à ses yeux d’avoir franchi le Rubicon de la trahison dans sa gestion de la pandémie de la Covid19, en favorisant la partie chinoise.
La mesure radicale prise contre l’OMS n’est pas qu’anecdotique, dans la mesure où le président Trump dresse une liste de griefs que ses détracteurs associent au fruit de son mantra classique anti-establishment : allant des accusations de partialité de l’organisation mondiale à son manque de transparence supposé dans sa réponse initiale à la pandémie, affirmant qu’elle n’avait pas agi assez rapidement pour alerter le monde de la gravité du virus jusqu’aux contributions financières des États-Unis, indiquant le fait que son pays contribuait financièrement beaucoup plus à l’OMS que la Chine, tout en soulignant que cette énorme contribution n’était pas utilisée de manière équitable. Les États-Unis sont effectivement le principal pourvoyeur de l’OMS avec 1,3 milliard de dollars par an, soit un peu plus de 16% du budget total. Ils sont suivis de près par l’Allemagne à hauteur de 856 millions de dollars par an alors que la Chine verse un montant de 157 millions de dollars et grâce au butin du colonialisme en Afrique et à l’extorsion en cours des ressources naturelles africaines, la France verserait également 157 millions. Bien que le nouveau maitre de la Maison Blanche n’accuse pas directement l’OMS d’être l’otage de milliardaires transhumanistes promouvant les droits sexuels et les mutilations génitales sur mineurs; bien que les critiques de M. Trump aient été principalement concentrées sur des accusations de partialité avec les Chine, de nombreuses voix se lèvent dans les milieux intellectuels et scientifiques pour mettre l’emphase sur la prise en main de l’Organisation mondiale de la santé par des idéologues richissimes, déterminés à imprimer leur vision sur la théorie du genre et leurs orientations sur les droits sexuels sur le plus grand nombre de pays.
Vérité scientifique élémentaire ou stigmatisation sociale?
Plusieurs analystes estiment que le retrait de Trump de l’OMS est également lié à ses positions sur les droits sexuels et les questions de genre, y compris les droits des enfants transgenres. Trump a exprimé des opinions fermes contre l’élargissement des droits sexuels, notamment en ce qui concerne les enfants et les personnes transgenres. Il a signé des décrets pour restreindre la reconnaissance des identités de genre. Ces actions et déclarations ont conduit certains analystes à penser que le retrait de l’OMS était aussi motivé par une opposition aux politiques de l’OMS sur les droits sexuels et la reconnaissance des identités de genre. Ils voient cela comme une tentative de Trump de s’opposer à l’idéologie de genre promue par des organisations internationales comme l’OMS et même l’ONU.
Nombre d’intellectuels à travers le monde se sont portés à la défense du président Trump, lorsque celui-ci proclame qu’il n’existe que deux sexes : masculin et féminin, qu’ils sont déterminés à la naissance et qu’ils sont immuables. Le 47ème président des États-Unis a signé des décrets exécutifs pour que le gouvernement fédéral américain reconnaisse uniquement ces deux sexes et utilise le terme sexe et non genre dans les documents officiels. Cette position a suscité des critiques de la part de nombreux experts médicaux et juridiques, qui crient à la transphobie, en soutenant que la réalité de la diversité sexuelle et de genre serait plus complexe. Ces critiques estiment que cette politique pourrait stigmatiser les personnes transgenres, non-binaires et intersexuées. Les experts médicaux et scientifiques de l’école idéologico-anthropologique des milliardaires transhumanistes et transactivistes soutiennent que la réalité biologique serait plus nuancée que la simple dichotomie homme-femme. Ils estiment qu’il existerait des variations intersexuées et des différences dans les chromosomes, les hormones et l’anatomie qui ne correspondent pas toujours aux catégories traditionnelles. Leurs détracteurs de leur côté mentionnent le fait que ses observations n’existeraient pas à l’état naturelle en dehors de manipulation biomédicales invasives.
Les défenseurs des droits des personnes transgenres et non-binaires affirment que l’identité du genre est distincte du sexe biologique et que les individus devraient avoir le droit de s’identifier selon leur ressenti personnel. Ces critiques estiment que la reconnaissance de seulement deux sexes peut mener à la discrimination et à la stigmatisation des personnes transgenres et non-binaires, violant ainsi leurs droits humains fondamentaux. Des études réalisées, aux États-Unis et aux Royaume-Uni, avancent que la non-reconnaissance des identités de genre peut avoir des effets négatifs sur la santé mentale des personnes concernées, augmentant les risques de dépression, d’anxiété et de suicide. Des chercheurs de l’Université de Californie, San Francisco (UCSF) ont mené une étude qui a révélé que la non-reconnaissance des identités de genre est associée à des taux plus élevés de détresse psychologique et de comportements suicidaires chez les jeunes transgenres. Quant à l’Université de Cambridge, elle note dans une étude que les personnes transgenres qui ne sont pas reconnues dans leur identité de genre sont plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé mentale, y compris la dépression et l’anxiété. Ces arguments sont battus en brèche par des scientifiques favorables à la fermeté du nouveau président américains. Les opposants de l’idéologie du genre et des études sur la non-reconnaissance des identités de genre remettent en question la méthodologie utilisée dans ces études, affirmant qu’elles peuvent être biaisées ou manquer de rigueur scientifique. Il est souvent reproché aux études de se baser sur des échantillons trop petits ou non représentatifs, ce qui affecte la validité des conclusions. Ces opposants suggèrent que ces études montrent une corrélation plutôt qu’une causalité directe, et que d’autres facteurs non liés à la reconnaissance de l’identité de genre peuvent expliquer les problèmes de santé mentale. Ces critiques signalent que les résultats des études peuvent être influencés par des contextes culturels spécifiques, rendant difficile de généraliser les conclusions à d’autres populations. Certains détracteurs soutiennent que les aspects biologiques du sexe sont sous-estimés et qu’il est important de considérer les réalités biologiques aux côtés des identités de genre. Ces arguments visent à nuancer ou à contester les conclusions des études, en invitant à une approche plus critique et un examen approfondi des données et des méthodologies utilisées.
L’écrivaine française Sophie Audugé, évoque une « guerre beaucoup plus frontale, une guerre idéologico-anthropologique » opposant les milliardaires pro-Trump des GAFAM, impliqués dans la conquête de l’espaces et de l’intelligence artificielle contre les milliardaires qui ont construit toute une idéologie transactiviste, engagés de leur côté dans le milieu biomédical et technomédical, à qui ont doit l’idéologie transhumaniste et transactiviste, en ciblant notamment des enfants. Il s’agit de personnes très riches, parfois des milliardaires, des hommes identifiés femmes, tels Jennifer Pritzker, né James, Martine Rothblatt, né Martin. La co-auteure du livre : « L’éducation sexuelle à l’école; les nouvelles orientations de l’éducation nationale en question », rappelle l’injection par ceux-ci de centaines de millions de dollars dans des universités américaines, pour créer des chairs de recherche sur le genre permettant de s’opposer à la binarité du sexe, ce qui a infiltré des organisations telles l’OMS. Elle dénonce une manipulation idéologique qui a dépathologisé ce qui jadis était considéré comme une dysphorie chez certains enfants. Elle rappelle également que le concept des droits sexuels appliqué aux enfants, celui d’enfant trans qui n’existait pas il y a 30 ans sont instrumentalisés par des conceptions idéologiques soutenues par tout un réseau universitaire via « de pseudos études sociales » destinées à convaincre l’opinion publique. Pour Sophie Audugé, en claquant la porte de l’OMS, Donald Trump a déclaré la guerre à ce qui précède.
Donald Trump a aussi promis de bannir les athlètes transgenres des sports féminins. Dans divers rassemblements en campagne, il a déclaré qu’il prendrait des mesures pour empêcher les hommes de participer aux sports féminins, en faisant référence aux athlètes transgenres. Il a également critiqué des athlètes transgenres spécifiques et a promis de restreindre la participation des femmes transgenres dans les sports féminins si réélu. Sur cette question des athlètes trans, (en particulier des garçons devenus filles), dans les compétions sportives, la Politologue – Journaliste Céline Pina parle d’une violente idéologie, en insistant sur ce qu’explique la science, à l’effet que la différence en termes de musculation, d’acquisition du poids et de masse se font à un très jeune âge. « Même lorsque vous prenez des hormones, ces différenciations qui sont liées au sexe demeurent à l’âge adulte », souligne-t-elle. L’auteure de « Ces biens essentiels » aborde des questions encore tabou dans les milieux trans : une duperie qui fait croire aux personnes trans qu’elles vont pouvoir se réinventer alors qu’elles sont en réalité placées dans une situation d’échec. Mme Pina accuse une injustice à faire concourir ces gens-là dans la catégorie femme en soulignant le fait qu’il est aujourd’hui possible de changer d’apparence sans pouvoir changer ce que vous êtes réellement. Elle regrette cette violence qui s’abat sur les « détransitionneurs » ou personnes devenuent trans qui à un moment donné de leur vie ne souhaitent plus l’être. Ces personnes se retrouvent souvent sur le banc des accusés pour avoir tenté de tuer les ambitions de leurs congénères par leur envie de se retirer. Des études comme celles menées par le Dr. Maurice Berger soutiennent que les enfants et les adolescents n’ont pas la maturité nécessaire pour prendre des décisions aussi cruciales et irréversibles que le changement de sexe.
Des droits sexuels appliqués aux enfants
Donald Trump a menacé de couper les fonds aux institutions médicales qui pratiquent des mutilations génitales sur mineures, ce qui inclut plusieurs types d’interventions. Trump a utilisé le terme « mutilations sexuelles » pour désigner un large éventail de procédures médicales liées à la transition de genre chez les mineurs, y compris les traitements hormonaux et les chirurgies de réassignation sexuelle. Ces menaces font partie de ses efforts pour restreindre les droits des personnes transgenres et limiter l’accès aux soins de santé pour les jeunes transgenres.
La chirurgie de réassignation sexuelle (CRS) est une série de procédures médicales visant à modifier les caractéristiques sexuelles d’une personne pour qu’elles correspondent à son identité de genre. Ces interventions peuvent inclure : La chirurgie de réassignation génitale pour les femmes transgenres (de sexe masculin à féminin), cela peut inclure la vaginoplastie, qui crée un vagin. Pour les hommes transgenres (de sexe féminin à masculin), cela peut inclure la phalloplastie ou la métaidoïoplastie, qui créent un pénis ; la Chirurgie de la poitrine pour les hommes transgenres, cela peut inclure la mastectomie, qui enlève les seins. Pour les femmes transgenres, cela peut inclure l’augmentation mammaire ; des procédures faciales, comme la féminisation faciale pour les femmes transgenres, ou la masculinisation faciale pour les hommes transgenres. Ces interventions sont généralement précédées d’une évaluation psychologique et d’un traitement hormonal pour préparer le corps aux changements chirurgicaux.
La chirurgie de réassignation sexuelle est pratiquée sur des mineurs en Occident. Par exemple, aux États-Unis, des données montrent que plus de 5 000 enfants ont subi des chirurgies de réassignation sexuelle entre 2019 et 2023. Les interventions incluent des mastectomies, des chirurgies génitales et des chirurgies faciales. L’âge minimum pour ces interventions varie selon les pays et les états. En Suède, par exemple, des filles de 14 ans ont subi des mastectomies. Aux États-Unis, les mastectomies sont pratiquées sur des adolescents âgés de 13 à 17 ans. Les décisions concernant ces interventions sont prises au cas par cas, en tenant compte de l’état de santé générale, de l’âge et des objectifs spécifiques de l’individu.
Les données montrant que plus de 5 000 enfants ont subi des chirurgies de réassignation sexuelle aux États-Unis entre 2019 et 2023 proviennent de plusieurs sources. Par exemple, un rapport du groupe de surveillance médicale Do No Harm a révélé qu’au moins 5 747 enfants ont subi des chirurgies de transition de genre pendant cette période. Ces données reposent sur des demandes d’assurance et excluent donc les chirurgies payées de la poche et celles effectuées dans des établissements qui ne rapportent pas de demandes. Ces rapports mettent en évidence le nombre important d’enfants recevant des traitements médicaux pour dysphorie de genre, y compris des opérations chirurgicales, des bloqueurs de puberté et des thérapies hormonales. Ces études montrent que les chirurgies de réassignation sexuelle pour les mineurs sont plus courantes que ce que l’on pourrait penser, bien que les politiques et les pratiques varient d’un État à l’autre. Des mastectomies pour mineures ont lieu en Occident, mais elles sont relativement rares et soumises à des critères stricts. Par exemple, aux États-Unis, il y a eu plus de 3 200 procédures de mastectomie d’affirmation de genre en 2020. Ces interventions sont généralement recommandées pour les adolescents transgenres qui ont été évalués par des professionnels de la santé mentale et qui ont reçu un soutien médical approprié.
Des injonctions intrusives de l’OMS incompréhensibles dans le Sud Global
Pour une importante partie des opinions publiques de ce qu’il est convenu d’appeler le Sud Global, piloté par la Russie, la Chine et leurs alliés et pour un bon nombre de partis politiques de droite et d’extrême droite des pays démocratiques, les orientations de l’OMS heurtent des valeurs civilisationnelles de plusieurs siècles qu’il n’est pas prudent de bousculer pour satisfaire aux lubies sexuelles d’une minorité de névrosés et même de prédateurs sexuels et autres pédophiles qui ont pris l’organisation mondiale en otage.
Les opinions publiques en Afrique expriment des préoccupations concernant les méthodes de l’OMS en matière de genre et de droits sexuels. Elles estiment que l’OMS impose des normes et des politiques qui ne correspondent pas aux valeurs culturelles et sociales locales. Ces critiques soulignent que l’OMS utilise des injonctions et des pressions pour promouvoir ses politiques, ce qui est perçu comme une forme de chantage. L’OMS, de son côté, prétend que ses politiques viseraient à promouvoir l’égalité des sexes et à protéger les droits humains, y compris les droits sexuels et reproductifs. Elle soutient que ces politiques seraient basées sur des preuves scientifiques et des principes de santé publique, et qu’elles seraient essentielles pour améliorer la santé et le bien-être des populations. La question suscite des débats passionnés, reflétant les tensions entre les normes internationales et les valeurs culturelles locales africaines de plus en plus méprisées,
Aussi ahurissant que cela puisse paraitre, l’OMS a osé une prétendue «sexualité » de l’enfant »: une sexualité supposée qui n’épargne aucun groupe d’âge puisque les injonctions de l’Organisation mondiale de la santé ciblent des enfants de 0 à 18 ans. L’OMS recommande ce qu’elle qualifie d’éducation complète à la sexualité (ECS) pour les jeunes, en prétendant fournir des informations dites exactes, qui seraient adaptées selon elle à leur âge sur la sexualité et la santé sexuelle et reproductive : une totale dinguerie. L’OMS pousse sa perniciosité jusqu’à reprendre à son compte des principes juridiques et des normes sociales établis tels le consentement à l’acte sexuel pour justifier son intrusion dans le corps de l’enfant et escompter la comestibilité des abysses sexuels primitifs des psychopathes infiltrés parmi ses scientifiques et mettre de l’avant une idéologie du genre doublée de celle des droits sexuels. Il faut comprendre que l’âge du consentement à l’acte sexuel est à la fois un principe juridique et une norme sociale.
Juridiquement, le consentement est essentiel, voire indispensable pour déterminer la légalité d’un acte sexuel. Sans consentement, un acte sexuel peut être considéré comme une agression sexuelle ou un viol, et est puni par la loi. Les lois sur le consentement variant évidemment d’un pays à l’autre, bien qu’elles visent toutes à protéger les individus contre les actes sexuels non consensuels. Socialement, le consentement est une norme qui reflète le respect mutuel et l’autonomie des individus dans leurs relations. Il est important de comprendre et de respecter les limites et les désirs de chacun pour établir des relations saines et respectueuses. Ce sont ces notions (parfois complexes même pour des adultes) que l’OMS décide d’imposer aux enfants. En l’occurrence, les programmes d’ECS couvrent des sujets tels que la famille et les relations, le respect, le consentement, l’anatomie, la puberté, la contraception, la grossesse et les infections sexuellement transmissibles.
Que l’obligation de parler systématiquement de certaines réalités liées aux droits sexuels dès le primaire et à tous les niveaux de classes, à travers des véhicules législatifs obligatoires sur des protocoles de mises en œuvre dans des écoles, mettant de l’avant la prévention et les dangers découlant des relations sexuelles est de bons alois. Lorsque cette éducation à l’école primaire se limite strictement à la prévention, aux risques d’abus sexuels sur les enfants, aux risque psychiques et psychologiques des relations sexuelles, à la prise de conscience du fait que le corps de l’enfant est intime et lui appartient et que les adultes ne peuvent y accéder, qu’elle s’érige contre les abus sexuels et l’inceste : cet état de fait est des plus louable. Lorsque dans le cadre scientifique, l’éducation sur la sexualité cible le bon groupe d’âge et vise en réalité de l’information sur la reproduction humaine à l’attention des enfants de fin du primaire, il y a matière à s’en accommoder. En revanche, lorsqu’on prend conscience de l’infiltration de l’OMS par des mouvements militants voulant imposer des idéologies wokistes dévastatrices défendant une supposée sexualité infantile, qui serait basée sur l’idée que l’enfant naîtrait non pas seulement fille ou garçon, mais qu’il serait également capable d’une sexualité fonctionnelle dès sa naissance et qu’à ce titre – totalement fallacieux et psychotique – il faudrait l’éduquer à reconnaitre ses plaisirs et qu’il soit capable de les maitriser lui-même : est un concept fuligineux qui se heurte à des valeurs vieilles de plusieurs millénaires et sert de carburant au rejet de l’OMS.
L’OMS préconise de commencer l’ECS dès l’âge de 5 ans, en s’appuyant sur un cursus scolaire établi. Alors qu’à cet âge la plupart des enfants rêvent de devenir le prochain Messi, Mbappé, Vinicius ou Lebron James l’OMS mise plutôt sur leur endoctrinement sexuel. Pour ce faire, l’OMS ordonne que son programme d’éducation complète à la sexualité (ECS) commence dès le plus jeune âge et soit adaptée au développement des enfants et des adolescents. Cet aperçu des différentes tranches d’âge visées par les folies des scientifiques de l’OMS laisse penser que l’Organisation mondiale de la santé est déconnectée du monde réel. De 0 à 4 ans : Les enfants apprendraient les bases du respect du corps, le fait que certaines parties du corps sont privées, et commenceraient à comprendre les concepts de genre et de famille. De 5 à 8 ans : Les enfants recevraient des informations plus détaillées sur les différences entre les sexes, les relations familiales, l’amitié, et les notions de respect et de consentement. De 9 à 12 ans : Ils commenceraient à apprendre sur la puberté, les changements corporels, les émotions, et le développement des compétences de communication pour établir des relations saines. De 12 à 15 ans : L’éducation se concentrerait davantage sur la sexualité, les relations intimes, la contraception, et la prévention des infections sexuellement transmissibles. De 15 ans et plus : Les adolescents recevraient des informations plus approfondies sur les relations, les choix sexuels responsables, et les questions de santé sexuelle et reproductive. Ces tranches d’âge permettraient de fournir une information progressive et supposément adaptée au développement des jeunes, afin de les aider à prendre des décisions éclairées et responsables concernant leur santé et leurs relations. L’OMS agit sur des sujets controversés comme l’éducation à la sexualité des enfants parce qu’elle estime que fournir une éducation complète à la sexualité (ECS) serait essentiel pour la santé et le bien-être des jeunes. L’objectif de l’OMS serait prétendument de doter les jeunes des connaissances et des compétences nécessaires pour protéger leur santé, entretenir des relations respectueuses, faire des choix responsables et comprendre les droits des autres. L’OMS recommande que l’ECS soit adaptée à l’âge et au développement des enfants et des adolescents, et qu’elle couvre un large éventail de sujets, y compris la famille et les relations, le respect, le consentement, l’anatomie, la puberté, la contraception, la grossesse et les infections sexuellement transmissibles. L’OMS ne recommande pas d’avoir une activité sexuelle en dessous de l’âge de consentement fixé au niveau national. Les critiques et les accusations contre l’OMS peuvent être influencés par des différences culturelles et des perceptions sur la sexualité et l’éducation sexuelle, alors que l’OMS prétend s’appuyer sur des preuves scientifiques et des principes directeurs dits internationaux pour élaborer ses recommandations, dans le but de promouvoir la santé et le bien-être des jeunes à travers le monde.
L’OMS a reconnu qu’il y avait des leçons à tirer de sa gestion de la pandémie et qu’elle aurait entrepris des réformes pour améliorer sa réponse aux futures crises sanitaires. Cependant, il est important de noter que l’OMS s’appuie sur les informations fournies par les pays membres et que sa capacité à agir dépendrait en grande partie de la coopération internationale. L’Organisation mondiale de la santé semble s’être militantisée au point de promouvoir et de projeter sur nos enfants les désires sexuels et les pratiques sexuelles d’adultes tourmentés sous prétexte que la sensorialité de l’enfant de découvrir son corps serait des attouchements à caractère sexuel ou de la masturbation. Il est grand temps de demander à cette organisation de foutre la paix à nos enfants. Cette mission, Donald Trump l’accomplit à merveille, dans ce qui ressemble aujourd’hui à un retour au bon sens et à la décence.