Poursuivi pour des faits » de provocation à un attroupement non armée, atteinte et menace de porter atteinte à l’ordre public, à la sécurité publique, à l’intégrité et à la dignité des individus par le biais d’un système informatique « » , depuis le 22 janvier 2024, Sékou Jamal Pendessa est situé sur son sort ce vendredi 23 février 2024 dans une sentence prononcée par par le juge Mory Bayo du TPI de Dixinn.
Après avoir publiquement et contradictoirement analysé son cas, en tout cas selon le magistrat audiencier du jour, le journaliste et Sécretaire Général du Syndicat professionnel de la presse de Guinée(SPPG) est condamné à une peine de 6 mois de prison dont 3 assortis de sursis et 3 mois ferme avec une amande de 500000 Gnf.
Cet autre durcissement du ton par la justice en cette période cruciale pour la presse guinéenne actuellment musellée à tous les niveaux, vient une fois de plus mettre un bras de fer entre les autorités et les syndicats qui projettent déjà une grève générale à partir du lundi 26 février 2024 dont »la libération immédiate et sans condition » du patron du SPPG est l’une des palettes révendicatives du mouvement syndical guinéen.
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